L’UEJF dénonce l’antisionisme virulent de l’extrême gauche française

L’UEJF dénonce l’antisionisme virulent de l’extrême gauche française.

Le 8 décembre 2016, l’UEC (Union des étudiants communistes) Paris 1 a appelé les étudiants à se réunir autour d’une conférence intitulée « Israël en Palestine : coloniser au nom de Dieu » qui devait initialement se dérouler à la Sorbonne.

L’UEC souhaite y « affirmer le caractère impérialiste de la colonisation israélienne » et « discuter de l’instrumentalisation de la judéité dont se réclame l’Etat israélien au profit d’intérêts coloniaux ».

Par l’organisation de cette conférence, le PCF et ses soutiens démontrent à nouveau leur volonté farouche de nier la légitimité de l’Etat d’Israël. En offrant une tribune à BDS, les étudiants communistes se rendent complices d’un mouvement illégal et violent, qui prône la fermeture et transmet la haine.

L’UEJF rappelle que le 9 janvier 2016, un an jour pour jour après l’attentat antisémite de l’HyperCacher, le mouvement BDS a rendu un hommage public Place de l’Opéra à Paris, aux terroristes palestiniens ayant assassiné des civils Israéliens. L’UEJF a alors saisi le Parquet à l’encontre des associations membres du collectif BDS pour avoir fait l’apologie du terrorisme en plein état d’urgence.

Le parti communiste et ses alliés incitent au boycott d’Israël, rendent hommage à des terroristes palestiniens et véhiculent un antisionisme décomplexé. Ces groupes s’inscrivent dans le camp de la haine.

Pour Sacha Ghozlan, président de l’UEJF : « En prétendant qu’Israël instrumentalise la judéité pour mener une politique colonialiste, l’UEC et le PCF s’affranchissent du pacte Républicain par un antisémitisme pernicieux. Ils lient l’identité juive à une visée impérialiste et colonialiste. Cette extrême gauche véhicule un antisionisme virulent qui masque à peine un antisémitisme acharné sous couvert d’une prétendue défense de la cause palestinienne ».

LAISSER UN COMMENTAIRE

Share This