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Dans la nuit du 7 au 8 septembre, les membres de la famille de Livry-Gargan ont été séquestrés pendant plusieurs heures à leur domicile, frappés puis ligotés, parce que juifs. Les agresseurs, qui se sont introduits par effraction ont coupé le courant, frappé le fils pendant toute la nuit, avant de s’en prendre à sa mère au petit matin. Son époux, alerté par les cris est aussitôt maîtrisé par ses agresseurs qui lui assènent plusieurs coups au visage et au corps. Les individus, qui n’ont pas encore été appréhendés, auraient déclaré : « Vous êtes juifs, vous avez de l’argent, on prend l’argent aux juifs pour le donner aux pauvres ».
La police est intervenue à la suite de l’appel de la mère et les agresseurs se sont emparés des cartes de crédit, des bijoux et de liquidités avant de prendre la fuite.
Une enquête est en cours dont les premiers éléments indiquent un caractère antisémite manifeste.
L’UEJF apporte son soutien aux victimes de cette effroyable agression antisémite.
L’UEJF condamne fermement et dénonce cet acte antisémite particulièrement violent et intrusif qui contribue à accroître le sentiment d’insécurité des français juifs. Cette agression n’est pas sans rappeler l’assassinat antisémite commis contre Sarah Halimi en avril 2017 et le viol à caractère antisémite d’une jeune femme et la séquestration de son compagnon le 1er décembre 2014 à Créteil.
Pour Sacha Ghozlan, président de l’UEJF « Nous appelons les pouvoirs publics à mobiliser leurs effectifs pour interpeller les agresseurs. Il est important de mettre en œuvre une action forte et cohérente contre l’antisémitisme et œuvrer en profondeur contre les préjugés et les stéréotypes antisémites pour que de tels actes ne puissent plus se reproduire et qu’ils ne restent pas impunis ».