Quis autem velum iure reprehe nderit. Lorem ipsum dolor sit nulla or narjusto laoreet onse ctetur adipisci.
Quis autem velum iure reprehe nderit. Lorem ipsum dolor sit nulla or narjusto laoreet onse ctetur adipisci.
Le 31 janvier 2017, Mehdi Meklat, journaliste au Bondy Blog présenté comme le porte parole de la jeunesse des quartiers populaires, donnait une interview dans le journal Les Inrockuptibles aux côtés de Christiane Taubira.
Quelques jours plus tard, des internautes ont fait émerger des tweets de Mehdi Merkat antisémites, racistes, homophobes publiés avec un pseudonyme entre 2012 et 2015. On peut notamment y lire : “Faites entrer Hitler pour tuer les Juifs #Cesar2012” ou “Je crache des glaires sur la salle gueule de Charb et de tous ceux de Charlie Hebdo”. Ces messages ont été partagés des milliers de fois depuis 2012.
Pour l’UEJF, la provocation et le ton prétendument humoristique des tweets en question ne justifient ni n’excusent cette banalisation de la haine. De tels propos sont irresponsables et dangereux.
En 2016, l’UEJF avait prouvé via un testing des réseaux sociaux que 4% de contenus haineux signalés avaient été effectivement supprimé par Twitter. Le fait que de tels messages soient restes disponibles pendant des années sur Twitter montre une nouvelle fois l’inefficacité des équipes de modération de Twitter.
Pour Sacha Ghozlan, président de L’UEJF :”pendant des années Mehdi Meklat a posté des messages antisémites, homophobes et appelant au meurtre des journalistes de Charlie Hebdo en utilisant un pseudonyme et ce, en toute impunité. Twitter porte une responsabilité morale importante dans la propagation du racisme, de l’antisémitisme et de l’homophobie sur les réseaux sociaux.
J’appelle les candidats à l’élection présidentielle à prendre des positions fortes pour enrayer la propagation des messages de haine sur les réseaux sociaux et pousser les grands réseaux sociaux à respecter le droit français”.