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Au lendemain de l’anniversaire des attentats de Charlie et de l’HyperCacher, un enseignant d’une école juive portant la Kippa, a été agressé à la machette en plein cœur de Marseille, alors qu’il se rendait sur son lieu de travail.
L’agresseur, un lycéen scolarisé âgé de 16 ans, interpellé quelques minutes après l’attaque, a revendiqué son acte au nom de l’Islam.
Pour l’UEJF, il est regrettable que cet agresseur ait largement été présenté comme déséquilibré, alors que ce terme est de plus en plus usité pour désigner les auteurs d’actes antisémites.
C’est la troisième fois en quelques semaines qu’une attaque au couteau est perpétrée contre un individu de confession juive portant des signes distinctifs.
Pour l’UEJF, le terme de déséquilibré tend à banaliser ces agressions antisémites, minimiser leur importance et favoriser le passage à l’acte.
Pour Sacha Reingewirtz, Président de l’UEJF « J’appelle les autorités françaises à tenir leurs engagements et à ne pas passer les agressions antisémites sous silence. Au lendemain des commémorations des attentats de janvier 2015, la France doit reconnaître les agressions antisémites qui ont lieu sur son territoire et les désigner en tant que telles. Présenter un acte antisémite comme étant le fait d’un déséquilibré, c’est déjà le banaliser ».