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Ce mercredi 17 mars 2021, les associations constituées contre Twitter, que sont SOS Racisme, l’UEJF, la Licra, J’accuse, le MRAP, SOS Homophobie, ont demandé la fin de la médiation entamée il y a quelques mois avec la plateforme.
Les associations constituées retournent devant le juge pour une audience prévue le 26 mai 2021.
Cette médiation faisait suite à une procédure enclenchée par les associations en mai 2020 pour défaut de modération de la part de la plateforme ( //www.lemonde.fr/pixels/article/2020/05/12/twitter-assigne-en-justice-pour-son-inaction-massive-face-aux-messages-haineux_6039412_4408996.html )
Sur proposition du juge des référés en octobre 2020, les parties avaient accepté de s’engager sur la voie consensuelle de la médiation.
Cette médiation ne pouvait satisfaire à l’objectif légitime d’information du public quant aux moyens matériels et humains affectés à la régulation et n’offrait aucune perspective concrète d’amélioration à court ou moyen terme.
En vertu de la confidentialité des échanges dans le cadre de cette médiation, il est impossible pour les parties prenantes de faire état de l’objet des échanges.
Cependant, neuf mois plus tard la montagne a accouché d’une souris.
Les associations ont donc décidé de retourner devant le juge des référés et de maintenir leur demande de désignation d’expert judiciaire, de manière à cerner, par le contrôle des moyens matériels et humains affectés ou non, les défaillances et responsabilités de la plateforme.
Pour les associations parties civiles « Twitter ne démontre pas de réelle volonté politique pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme ou l’homophobie sur sa plateforme, il se contente d’un léger saupoudrage et de communications inutiles et imparfaites alors qu’il faudrait modérer sérieusement et imposer enfin de l’éthique et la loi française. Cette attitude est irresponsable et dangereuse. Nous retournons donc devant le juge le 26 mai prochain».