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Alors que l’année 2020 a été en grande partie marquée par la fermeture des lieux cultuels et culturels, des écoles juives et de l’interdiction quasi-totale de toute forme de rassemblement, les chiffres de l’antisémitisme et notamment des agressions physiques en France demeurent à un niveau extrêmement important avec 339 actes recensés.
Agressions, coup de poing, gifles, voilà ce à quoi ont été confrontés 44 citoyens Français uniquement parce que juifs selon les chiffres publiés ce jour par le SPCJ avec le Ministère de l’Intérieur (//www.antisemitisme.fr/dl/2020-CP-FR.pdf)
La haine antisémite s’est libérée par ailleurs sur les réseaux et les insultes reçues par Miss Provence, April Benayoum n’en sont qu’une preuve supplémentaire.
Ces chiffres relatent par ailleurs une image bien inférieure à la réalité, les victimes refusant souvent de porter plainte.
Bien que les chiffres soient en légère baisse en comparaison à l’année dernière au regard du confinement, le niveau d’antisémitisme est identique aux années 2016 et 2017 lors de l’opération Sentinelle.
Pour l’UEJF, ces chiffres doivent constituer un électrochoc et la mise en oeuvre d’un ensemble de mesures, allant de la prévention, à la sanction en passant par une protection accrue.
Pour Noémie Madar, Présidente de l’UEJF, « Une proportion si grande d’agressions violentes alors même que les rassemblements étaient interdits une grande partie de l’année démontre un enlisement dans la violence et une normalisation de ce type d’actes peu importe les conditions. L’antisémitisme se transforme en quelque sorte en une forme d’invariant de la société française.
Les tweets, l’émotion et la compassion ne sont pas suffisants. Parce qu’il y a des Français dont la vie est détruite par un harcèlement ou une agression, parce que la peur s’est installée depuis de trop nombreuses années, il est urgent pour le gouvernement de réagir concrètement et efficacement. »
Contact Presse : 07 49 87 27 95 – [email protected]