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Alors que les Tweets haineux de Medhi Meklat ont été révélés il y a quelques jours, c’est désormais les tweets antisémites, mysogines et homophobes de son co-auteur Badroudine Said Abdallah qui sont révélés aujourd’hui.
Ces écrits publiés en 2011 et en 2012, n’ont jamais été supprimés par Twitter qui démontre une nouvelle fois sa volonté de ne pas modérer les contenus haineux publiés sur sa plateforme.
Après avoir été présentés la voix des quartiers populaires, Medhi Meklat et Badroudine Said Abdallah deviennent les symboles d’une haine déversée en toute impunité sur les réseaux sociaux.
L’UEJF saisit le procureur de la République pour lui faire part de ces nouvelles informations et que les auteurs de ces contenus soient poursuivis en justice.
Pour Sacha Ghozlan, président de l’UEJF « Mehdi Meklat et Badroudine Said Abdallah qui se sont présentés comme les porte-voix d’une génération issue des quartiers populaires en faveur de la tolérance ont trahit la cause qu’ils prônaient. L’humour et l’art sous couvert d’anonymat ne peuvent servir d’excuse pour justifier la banalisation de paroles de haine.
Nous saisissons le procureur de la République de ces nouveaux éléments et appelons les médias et éditeurs qui les ont portés aux nues à se désolidariser et à dénoncer fermement de tels propos immondes ».