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COMMUNIQUE DE PRESSE
Objet : L’UEJF demande l’interdiction de la tournée de Farid Esack, président de BDS Afrique du Sud, organisation réputée pour ses actions violentes et antisémites
L’UEJF demande l’interdiction de la tournée de Farid Esack, président de BDS Afrique du Sud, à l’Université Paris-1 Sorbonne, Toulouse Le Mirail et Sciences Po Bordeaux.
L’UEJF rappelle que l’organisation « BDS Afrique du Sud » est réputée pour ses actions violentes et antisémites, organisées sur les campus et plusieurs villes d’Afrique du Sud.
Parmi les actions violentes et antisémites récemment organisées par BDS Afrique du Sud, on dénombre notamment :
– en mars 2012, des étudiants juifs portant la kippa sont traités de « Putain de Youpin » par les militants de BDS du campus de l’Universités de Wits
– en août 2013, des cris « Tuez les Juifs » chantés dans l’université de Wits à l’occasion d’un concert de jazz d’un groupe israélien, et justifiés par Mohamed Desai, directeur de l’organisation BDS Afrique du Sud, au nom de la lutte anti-apartheid
– en octobre 2014, un appel à boycotter le supermarché WoolWorths qui a abouti au saccage d’un rayon casher avec une tête de cochon sur un étal
– en février 2015, l’organisation d’une conférence à l’Université de Durban de Leila Khaled, ancien terroriste ayant participé à plusieurs détournements d’avions israéliens ; conférence suivie par des appels demandant aux étudiants juifs de se désinscrire des facs
– le 10 mars 2015, une marche en banlieue de Johannesburg où des appels à exterminer les juifs ont été lancés – www.youtube.com/watch?v=vCTqxzoQqZo
Pour l’UEJF, l’organisation de la tournée d’un président d’une association réputée pour son mode d’action violent et antisémite est à l’opposé de l’esprit du débat universitaire, qui doit demeurer un espace de tolérance, et empêcher la transposition du conflit israélo-palestinien sur le campus.
Pour Sacha Reingewirtz, Président de l’UEJF : « Au vu de l’augmentation des actes antisémites en France, il est extrêmement dangereux d’attiser les haines en donnant une tribune à un militant connu pour diriger une organisation notoirement violente et antisémite. Nous en appelons à la responsabilité des dirigeants des Universités de Paris 1, Toulouse Le Mirail et de Sciences Po Bordeaux pour interdire ces conférences. L’université est un espace de dialogue et d’ouverture sur le monde mais les causes humanitaires ne doivent pas être instrumentalisées pour appeler à la haine raciale et propager l’antisémitisme, comme l’a malheureusement fait à de nombreuses reprises l’organisation BDS Afrique du Sud. ».