L’UEJF se désole et s’indigne de la mort de Marie Dedieu, otage française retenue en captivité en Somalie.

 

Objet : L’UEJF se désole et s’indigne de la mort de Marie Dedieu, otage française retenue en captivité en Somalie.

L’UEJF est profondément attristée par la mort de l’otage française Marie Dedieu, retenue captive depuis le 30 septembre dernier. Les violences perpétrées à l’encontre d’un femme handicapée et malade sont d’une inhumanité effroyable.

L’UEJF s’insurge contre le sort inhumain réservé à Marie Dedieu par ses ravisseurs.   En la privant des traitements dont elle avait besoin, ses ravisseurs ont directement provoqué sa mort, et en portent l’entière responsabilité.

L’UEJF est révoltée par l’abjection dont font preuve les assassins de Marie Dedieu en prétendant vendre sa dépouille. Ce geste, d’une bassesse infinie, témoigne d’un rejet complet de la valeur qu’est la dignité humaine, sur laquelle repose le vivre ensemble en société.

L’UEJF porte une pensée à ses proches et à son compagnon, M. Lepapa. L’UEJF souhaite expressément que le corps de Marie Dedieu leur parvienne au plus vite.

Pour Jonathan Hayoun, Président de l’UEJF : « La libération de Gilad Shalit, pour heureuse qu’elle fut, ne nous fait pas oublier le devenir des otages français détenus à travers le monde : Daniel Larribe et Denis Allex, Pierre Legrand, Thierry Dol, Marc Ferret, Pierre, Léa et Amélie».

Contact Presse :

Jonathan Hayoun
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